PIERRE PSY :

 

La « pierre psy » est un matériau Tygg vert phosphorescent, qui n’est pas originaire du big-bang, en effet les Tyggs l’ont obtenu par métissage d’une créature-objet avec la race humaine (CF Golems).

Enfant de la reine d’ivoire Galatée, golem d’orichalque, et du roi d’Isoaïs, le golem géant obtenu était fait d’une pierre verte phosphorescente, qui avait le pouvoir de rendre psionnique actif tout organique la touchant.

Ce golem fut envoyé sur Miiwan, où il perdit des morceaux sur toute la surface, avant de plonger sous les eaux de l’océan (CF Historique).

Gmurk le propulsa sur l’étincelante menace (CF Cube), ce qui la fit fondre, ainsi que le golem de pierre verte, dans une réaction alchimique catastrophique.

Cependant, il en resta un cœur, une pierre verte grosse comme le poing, que le méjï Ben Tuloï retrouva et communiqua aux mégas…

Depuis, les Tyggs savent reproduire des pierres psy de la même taille, pour rendre psy actif certains organiques choisis (des gardiens des symboles par exemple, ou autres généraux de Sunrith).

Ces pierres psys sont composées entre autres de matières phosphorescentes, comme les aluminates de « terres rares ».

Les terres rares sont un groupe de métaux aux propriétés voisines comprenant le scandium 21Sc, l'yttrium 39Y, et les quinze lanthanides.

Sous forme élémentaire, les terres rares ont un aspect métallique et sont assez tendres, malléables et ductiles.

Ces éléments sont chimiquement assez réactifs, surtout à des températures élevées ou lorsqu'ils sont finement divisés.

Le phénomène de phosphorescence proprement dit est dû, lui, à une autre réaction : il s'agit d'une suite de pertes d'énergie par des électrons qui ont été excités et qui retournent à des niveaux d'énergie plus bas.

Le fait que cela se passe lentement relève du domaine de la mécanique quantique : le retour des électrons à leur état habituel concerne un « passage interdit ».

Ces pierres vertes phosphorescentes sont donc des catalyseurs psy, on peut aussi s’en servir comme de focus énergétique psionnique, ou d’arme contre l’étincelante menace d’un cube cénobite.