2-1-5-4                         LA LOI

 

La loi de l’AG défend les individus et leurs propriétés, interdisant évidemment le vol et le meurtre, et protégeant (en théorie) les citoyens des escroqueries de toutes natures.

Les tribunaux sont tenus par des médiates de l’AG (fonctionnaires), et chaque accusé n’est pas considéré comme coupable tend que sa culpabilité n’est pas prouvé, il peut avoir un avocat pour le défendre si il le désire.

Les peines sont assez dures néanmoins :

Au mieux des travaux d’intérêt général, au pire la déportation sur une planète bagne (où les criminels violents récidivistes sont livrés à eux-mêmes).

Entre les deux, il y a des années de cryo-stase (à la « Demolition Man »), ou bien le redressement cérébral par hypno-éducation (à la « Orange Mécanique »), mais il est plus rare car interdit pour raisons éthiques dans certaines confédérations…

Bien entendu, certaines confédérations ont des lois internes différentes (tous les cas de figure existent, d’un extrême à l’autre), ces règlements s’appliquent donc surtout aux astroports, à l’espace interstellaire, et aux mondes très proche de l’esprit de l’AG.

Rappelons quelques faits relatifs aux lois déjà évoqués dans d’autres sections :

Nul n’est censé posséder une arme, sauf s’il fait partie des forces de l’ordre locales, ou des forces de répression de l’AG.

Les clubs de tirs ont des armements factices (dans des univers virtuels la plupart du temps), et en faire partie n’autorise pas à posséder une arme.

De même la chasse est interdite sur les mondes de l’AG, qui déplacent les espèces animales sur d’autres mondes en terraformation (ou dans des zoos de bases spatiales) en cas de surplus sur une planète, mais n’autorise en rien leur « meurtre sportif ».

Dons seuls les policiers et les soldats ont des armes, et ce sont des armes de fonction, qu’ils ne portent qu’en service, et jamais en permission ou à leurs domiciles.

Les lois concernant la circulation (au sol comme en vol) sont différentes d’une confédération à l’autre, certaines ne reconnaissant pas les permis de pilotage passés ailleurs.

Les Droïds (robots avec intelligences artificielles conscientes d’exister) ont les mêmes droits que les êtres vivants intelligents, et ne peuvent donc pas être exploités comme de simples machines.

Il existe un marché parallèle des soins médicaux, pour les hors la loi qui ne peuvent se servir des moyens légaux (comme pour la vente d’armes au marché noir par exemple), cher et moins sûr.

Il existe aussi un trafic de médicaments, qui fonctionne sur le même modèle que celui des stupéfiants.

La PIS travaille activement sur ces dossiers…

 

 

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