Juste un peu trop tard :


Citroën les amène en vaisseau aux coordonnées les plus proches du lieu de réception du signal, hors frange de l’A.G., en dehors de toute route commerciale.

Ils se dirigent donc vers Reega un système inhabité composé de 25 planètes gravitant autour d’un soleil rouge, et plus particulièrement de la septième planète, planète non respirable, composée de canyon de glace et de poussière bleue.

A leur arrivée, l’homme aux chevrons détecte 2 chasseurs spatiaux sautant en hyperespace aux confins du système, trop tard pour les suivre…

C’est bien là où le signal du rayon méga a été reçu, le vaisseau peut survoler la surface, mais pour descendre fouiller entre les canyons escarpés, il faut des engins plus légers.

Nos trois associés partent donc chacun à bord d’un spider et volent entre les canyons.

Ils se séparent pour couvrir le plus de terrain possible et sont en contact radio permanent.

Gmurk découvre un monticule avec 2 sas d’entrée blindés.

C’est un bloc rocheux de 200 m sur 200, percé donc de 2 immenses portes métalliques disposée sur les faces opposées du bloc.

Les 2 autres héros rejoignent Gmurk, et après quelques mésaventures d’atterrissage forcé, ils sont bientôt prêts à explorer le lieu.

Autour du rocher, la poussière bleue est marquée de nombreuses empreintes de pas, et porte les traces du déchargement de plusieurs objets de grande taille.

Bien qu’en scaphandre gênant (et avec un champ de vision limité du au casque et à l’obscurité ambiante), Gmurk escalade la paroi jusqu’au plus petit des sas, tandis que Corina et Troy remarque une antenne parabolique semblable à celle d’une machine gouluz sur le sommet du bloc, ainsi qu’une trappe d’accès technique adjacente à celle-ci.

Gmurk bricole comme un sagouin les sécurités du sas pour finalement entrer par effraction.

Corina et Troy doivent franchir des systèmes de protection magnétique dans le couloir technique, et parviennent eux aussi à arriver à l’intérieur de la base.