Ce second synopsis couvre tous les épisodes de Sex Trek, à partir du troisième, « Piège à Kons » :

 

Réunion en salle de briefing, le capitaine expose son projet à ses officiers principaux, à qui il présente aussi l’ambassadrice Luxura Troi. Picon explique que « Skull Planet » est dans le cadran Bêta une planète encore inexplorée par Starfuite, elle ne figure même pas sur les cartes stellaires.

On dit qu’il s’y trouve une race de primitifs, les Gangas-Bangas, aux mœurs dépravés : ils feraient constamment l’amour grâce à de puissants aphrodisiaques traditionnels… toujours à la recherche d’un moyen de sauver l’espèce humaine de l’extinction, le capitaine Picon veut conduire son vaisseau L’Ejaculator jusqu’à Skull Planet, il espère y découvrir dans ces fameuses techniques ancestrales un moyen de pallier à l’impuissance des terriens à se reproduire… il prétend avoir trouvé les coordonnées de Skull Planet lors de leur précédente escale (et arbore une simple carte routière Michelin), seulement, nul astronaute ayant posé le pied sur cette planète mystérieuse n’est jamais revenu… un danger inconnu et invincible y règne depuis toujours…

On retrouve la plupart de nos héros sur la passerelle, le vaisseau se mettant en route vers la planète inconnue. Le capitaine, Ikthar et Eléthonia échangent leurs points de vue sur la façon dont on doit interpréter cette carte étrange d’un autre temps, jusqu’à ce que le capitaine joue à « plouf plouf, ça sera toi qui… » pour déterminer l’étoile recherchée !

Pendant le voyage, Raoul Solies rend visite à Woody Alien le « huitième psychiatre », dans son cabinet, pour se plaindre des effets secondaires des expériences d’accouplement interspécifique auquel il est sans arrêt confronté. En effet, par rapport à l’épisode précédent, son apparence physique s’est encore dégradée, à cause des MST extra-terrestres : il n’a presque plus de cheveux et son visage est boursouflé par des bubons purulents. Il se plaint aussi du traitement dégradant que lui inflige son frère jumeau, le sadique Guy Solies (Medecine Man). L’Alien psy l’écoute pleurnicher sans broncher, faisant semblant de prendre des notes comme tout bon thérapeute, puis le congédie quand la durée de la séance est écoulée.

A l’approche des coordonnées supposées de la fameuse planète Skull, le vaisseau doit traverser un épais nuage de gaz… Eléthonia ralentit, tout le monde à l’air inquiet (ce n’est pas dans ses habitudes !), et elle a bien raison car ce brouillard spatial cache de dangereuses astéro-crottes contre lesquels l’Ejaculator pourrait se crasher ! Commence alors une série d’évitements, faisant référence à la poursuite dans le champ d’astroïdes de « L’Empire contre-attaque », provoquant de belles secousses sur la passerelle, comme on les aime dans le Star Trek originel. Lorsque le vaisseau parvient à traverser tout le nuage de gaz, on découvre enfin sur l’écran principal la planète convoitée (bien verte à cause de ses forêts vierges). On voit que le continent central est triangulaire, traversé verticalement de 2 chaînes de montagnes parallèles terminé au nord par un volcan (…oui cela forme une chatte !).

Après avoir analysé la présence de vie à la surface, et débattu des conséquences éventuelles de la légende des Gangas-Bangas, ils décident de monter une expédition pour explorer Skull Planet. Le capitaine est comme d’habitude incapable de prendre une décision, mais c’est la volonté ferme d’Eléthonia son second qui le pousse à organiser l’exploration. En effet, seule femme à bord depuis des mois, elle commence à en avoir marre des avances lourdingues de ses camarades, et espère plus que tout autre que Skull Planet fournira une issue à leur quête.

On retrouve donc en salle de téléportation le capitaine Picon accompagné d’Eléthonia, et du medecin Guy Solies. Le capitaine remet le commandement à Ikthar le vulvain, son officier scientifique, en son absence. Skull Planet étant d’un climat tropical, Eléthonia a attaché ses cheveux en choucroutes à la Léïa. Le responsable du téléjouisseur, Jordi, leur fait des gros poutoux, et les téléporte.

Ils retrouvent en pleine forêt, et avancent vers les signes vitaux détectés par les instruments du médecin. Ils arrivent au village des Gangas-Bangas, bâti le long d’un étrange sentier avec des huttes en branchages, se finissant en un autel dédié à leur déesse Queen Kon (en fait une installation pour égrainer le gibier avec 2 verges sculptées). Ils entendent bien ce qu’ils prennent pour une psalmodie rituelle (en fait c’est la partouze des sauvages), mais ne voient pas tout de suite les Gangas-Bangas…sauf la shaman entrain de dessiner avec une branche sur le sol. Elle schématise des positions du Kama-Sutra, puis les efface quelques instants après. Ne comprenant pas le sens de cet art brut éphémère, nos explorateurs se concentrent sur les bruits venants des fourrés…Ils finissent par en trouver 2 entrain de copuler frénétiquement, en fait il y en a derrière chaque buisson, changeant de position au rythme des dessins de la shamane !

La partie fine stoppe brusquement lorsque le chef du clan se rend compte que sa tribu est observée par des étrangers. Dans un silence inquiétant, il se rapproche du groupe, Medecine man incite alors le capitaine Picon à tenter de communiquer… ce dernier tente quelques mots dans les différents dialectes primitifs appris au cours de leur voyage (sous titres complètement débiles, incompréhension du chef Gangas-Bangas). Le chef de tribu finit par comprendre (après une séance de « mime avec des gestes ») que les étrangers aimeraient avoir quelque uns de leurs précieux aphrodisiaques traditionnels, mais réclament Picon en échange pour le sacrifier à Queen Kon, leur dieu protecteur. Evidemment, Picon refuse (c’est quand même pour baiser lui aussi qu’il fait tout ça, pas pour crever !), et le groupe procède alors à un repli stratégique en voyant les sauvages commencer à s’énerver… seulement avant leur départ, la shaman de la tribu s’était approché de Picon pour essayer de tâter ses couilles, elle avait même prononcé une curieuse incantation à son encontre.
Celle-ci produit finalement son effet lors de la re-téléportation de nos héros vers le vaisseau : Picon ne part pas, apparemment retenu sur Skull planet par la puissante malédiction de la shaman.

Les sauvages accourent alors de toute part, et parviennent à s’emparer du malheureux, qu’ils emportent vers leur village.En salle de téléportation, Eléthonia et Guy s’inquiètent immédiatement de l’absence de Picon que Jordi ne parvient pas à expliquer : il avait pourtant la signature des 3 combadges sur son radar, il aurait dû être téléporté aussi, seul le surnaturel peut expliquer cette anomalie. Se remémorant la scène de leur départ, Eléthonia comprend que seule la shaman a pu provoquer cet incident. Ils appellent la passerelle pour convoquer les officiers d’urgence en salle de briefing, et mettre tout l’équipage en état d’alerte : le capitaine Picon a été enlevé par les Gangas-Bangas !

En salle de briefing, alors que tous paniquent de la situation sans rien proposer de concret, Eléthonia elle se perd dans ses souvenirs aimant du capitaine… On a alors droit à une série de flash-backs tous plus débiles les uns que les autres, où Picon fait l’abruti sous le regard toujours compatissant d’Eléthonia qui l’idolâtre, en fondu, au ralenti, avec des effets de vignette et de vieux film sépia, le tout sur une musique romantique… puis elle se reprend et organise la mission de sauvetage de son capitaine adoré. Cette fois tout le monde vient (les personnages récurrents et un figurant supplémentaire pour faire un homme d’équipage du service de sécurité), à part Raoul que Guy propose à Eléthonia pour tenir le commandement en leur absence… évidemment cela rassure Raoul sur la considération de Guy à son égard.

C’est alors que la seconde expédition est téléportée à proximité du village. Surprise, Kinos et Scotchy les attendent déjà sur place, prêts à leur distribuer le tout nouvel équipement de survie de Starfuite. Après la distribution Eléthonia ordonne à Kinos et Scotchy d’établir un camp de base, auquel ils pourront tous se réfugier en cas de besoin. Les héros discutent tandis que les figurants dressent les tentes et autres tables de camping à l’arrière-plan ! Scotchy y restera pour diriger ces opérations d’une extrême complexité. Kinos quant à lui sécurisera le secteur, en attendant le retour du groupe qui continue l’exploration.

Mais avant de se séparer, ils entendent le bruit caractéristique d’un pinosaure-Tricérabite entrain de brouter le gazon ( ! ), s’approchant sans bruit ils écartent les fourrés pour mieux l’observer… quand tout à coup le monstre les repère et les charge, s’en suit une terrible bataille où plusieurs figurants sont tués (ou alors plusieurs fois le même) ! Le Tricérabite use de ses pattes avant et de sa queue pour frapper les fragiles humains, ces derniers se défendent en tirant sur lui avec leurs phaseurs, les réglant progressivement jusqu’à la puissance maximale avant d’enfin parvenir à le terrasser. Après la bagarre, nos héros font le tour de cet imposant cadavre, et s’arrête un moment pour contempler les 3 énormes verges qui ornaient la collerette de sa tête… chacun se sent tout à coup bien petit face à ce gigantisme génital, ils se mettent alors à disserter de la taille de leur sexe (en jalousant l’enseigne Starkon) et Eléthonia doit les rappeler à l’ordre sans quoi ils se seraient lancé dans un concours de bite. Après cette mauvaise rencontre ils veulent tous rester au campement, mais Eléthonia parvient à les re-motiver par un discours sur les qualités de leur capitaine, un vrai obsédé sexuel comme eux, qu’ils ne peuvent pas abandonner ! ils se mettent en route…

Pendant ce temps, la nuit est tombée sur le village Gangas-Bangas (éclairé par des torches) et le rituel du sacrifice est commencé. Ficelé, habillé en toge sacrificielle (avec capote sur la tête), Picon est entraîné par les Gangas-Bangas à travers le village, tout autour de lui les sauvages scandent une litanie rituelle tout en se branlant, puis on le conduit jusqu’au haut du barrage où il est attaché à 2 énormes poteaux en forme de verges. Il se débat, mais rien n’y fait, rien n’y fait… le chef du village ordonne le silence, et la shamane prononce alors une prière incompréhensible (où l’on entend quand même le nom de Queen Kon). Pendant ce temps, des Gangas-Bangas rasent à la cire les tétons de Picon, ce qui le fera ensuite crier pratiquement durant tout le reste du film ! Puis un grondement se fait entendre, grandissant, et les Gangas-Bangas paraissent effrayés… c’est alors que Queen Kon surgit de la jungle face à un Picon terrorisé qui hurle à gorge déployée comme une flipette ! Queen Kon tâte d’un de ses doigts gigantesque les parties intimes de Picon, puis alléchée par sa masculinité, elle l’arrache brusquement des poteaux où il était entravé, et s’éloigne dans la jungle en l’emportant prisonnier de sa grosse main velue.

Arrivés au village, nos héros, en entendant les cris de Picon qui s’éloignent, se lancent immédiatement à la poursuite du monstre, qu’il n’ont même pas eu le temps de bien apercevoir. Les Gangas-Bangas voudraient les en empêcher mais ils ont trop peur de les suivre au-delà du barrage, cependant avant qu’il le traverse la shaman a le temps de leur lancer à tous la même malédiction « anti-téléportation » qu’à Picon. On voit le soleil se lever sur la jungle (en fait la forêt vosgienne bien sûr), et on retrouve les explorateurs traversant la foret en suivant les traces laissés par Queen Kon (branches cassées, troncs effrités, etc…).
Medecine man agit comme un gros parano dans la jungle, dégommant au phaseur le moindre perroquet qui a le tort de piailler dans ses oreilles, c’est Luxura qui piste le monstre selon une technique bitazed ancestrale (détection du rut animal), quant à Ikthar il s’interroge sur l’accord passé entre les Gangas-Bangas et le monstre géant : pourquoi lui fournir des hommes en sacrifice ? le monstre les protègerait-il en échange d’un danger encore plus grand ?
Ils finissent par tomber sur une empreinte de pied laissée par Queen Kon et commencent à essayer d’évaluer sa taille… épatés par cette découverte, ils commencent à délirer en imaginant la taille de ses nibards, ou de son clyto, etc…

Plus loin encore dans la jungle, ils arrivent à une sorte de lagon marécageux (l’étang du terrain de Laurence), pour le traverser ils doivent gonfler un bateau pneumatique que Jordi a justement toujours sur lui ! Evidement c’est Luxura qui est choisi pour pomper… lorsque l’embarcation est prête, ils entament la traversée en restant bien sur leurs gardes car ils savent désormais pourquoi les indigènes craignent tant la faune locale. Ils sont en effet attaqués par un pinosaure-Diplodoqueue au beau milieu de l’eau : ce dernier commence par émerger son cou immense terminé par un gland titanesque, quand ils le voient nos héros tirent dessus sans effet, alors le monstre surgit entièrement hors de l’eau, renversant la frêle embarcation. Chacun tente de fuir vers la berge, en tirant derrière soi, Ikthar le vulvain se plaint d’être « toute mouillée » ! Le groupe de fuyards se sépare en éventail, en cherchant tous à se cacher à la lisière de la forêt, mais le diplodoqueue s’acharne à poursuivre Luxura qui se retrouve obligé de grimper à un arbre pour ne pas se faire piétiner (comme certains figurants moins chanceux). Le cou du diplodoqueue rentre alors en érection, et le gland qui lui sert de tête finit par éjaculer des litres et des litres de foutre pré-historique sur l’infortunée bitazed. Cette dernière se retrouve pratiquement collée au feuillage par le liquide gluant !

Pour sauver Luxura, que le pinosaure aurait sans doute achevée, Ikthar attire alors le diplodoqueue en exhibant sa vulve frontale de façon érotique (laissé à la libre interprétation de l’acteur !), et Jordi trouve une fréquence sonore que le monstre ne peut pas surmonter grâce à son Auditor… il se met donc à chanter une note aigu comme une cantatrice (doublage) et le monstre semble incapable de le supporter, sa tête-gland explose et il s’écroule au sol. Aussi nos héros ne demandent pas leur reste, ils se réunissent et fuient à toutes jambes dans la forêt. Puis Eléthonia donne l’ordre à Jordi de de rester ici pour essayer de décoller Luxura de son arbre… et ensuite de la raccompagner à proximité du village Gangas-Bangas… en effet, cette dernière ne semble pas s’être remise de cette effroyable éjac’ faciale géante !

Au même moment Queen Kon traverse un ravin en passant sur un arbre suspendu en guise de pont, puis elle entend la fuite des héros face au pinosaure tout proche, alors elle dépose délicatement Picon (dont le tee-shirt commence à être légèrement déchiré) sur un arbre dont il ne peut descendre et elle fait demi-tour. Quand elle revient au pont de nouveau les héros y arrivent essoufflés. Alors qu’ils essaient de traverser malgré leur peur de la géante, car Eléthonia les y encourage signalant que Picon ne doit pas être loin, Queen Kon se met à secouer le pont de toutes ses forces herculéennes… évidemment nos héros chutent les uns sur les autres de façon grotesque, et essaient de s’agripper à… ce qu’ils peuvent ( ! ) afin de ne pas tomber dans le vide comme le font quelques figurants étourdis. Eléthonia est elle aussi projetée dans le vide mais parvient miraculeusement à se rattraper à la paroi et à se cacher dans une corniche sous le pont. Ses compagnons survivants sont obligés de rebrousser chemin et ce juste à temps car Queen Kon brise le pont qui s’effondre aussi dans le ravin (enfin un montage infographique du pont tout du moins) !

Pendant ce temps, Picon se met à hurler parce qu’un pinosaure se rapproche de l’arbre où il est perché. Queen Kon cesse d’essayer d’attraper Eléthonia et s’en retourne alors vers Picon, laissant nos héros dans l’embarras puisqu’ Eléhonia se retrouve seule de l’autre côté du précipice…

Revenu près de l’arbre de Picon juste à temps, Queen Kon se jette sur le pinosaure-Diplodoqueue et le combat de titans commence. Ruades, coups de boule contre coups de queue, corps à corps à mi-chemin entre bestialité et érotisme, l’affrontement finit en faveur de la reine des Kon après qu’elle ai tordu le cou-verge comme un tire-bouchon, et éclaté l’urètre du gland-tête jusqu’à ce que le pinosaure ressemble à une banane pelée. Victorieuse, Queen Kon pousse un râle en se massant la poitrine. Enfin, elle revient vers Picon avec un sourire plein d’appétit, ce dernier se met à crier, terrorisé…

Pendant ce temps, Eléthonia discute avec les survivants de l’autre côté du ravin, si ils parviennent à communiquer avec l’Ejaculator grâce à leurs combadges, ils ne peuvent plus se faire téléporter à bord ou de l’autre côté du ravin… ils arrivent à la conclusion qu’elle va essayer de suivre la piste de Queen Kon toute seule tandis qu’ils retournent au village Gangas-Bangas afin d’obliger la shaman à lever sa malédiction concernant les téléportations. Au cas il n’y aurait aucun moyen de le faire, ou simplement pas à court terme, ils conviennent aussi d’un lieu de rendez-vous suffisamment dégagé où le vaisseau pourrait se poser pour les récupérer, puis ils se séparent. Eléthonia part donc seule plus avant dans la jungle, elle longe le cadavre du pinosaure émasculé du cerveau (ou décapité de la bite, c’est au choix !), et s’enfonce dans les bois en suivant toujours les traces du monstre géant.

Pendant ce temps, au campement, Ils parlent de la marche à suivre pour forcer la shaman à rompre son ensorcellement, et d’un moyen de vaincre Queen Kon… ils arrivent à la conclusion de kidnapper la sorcière Gangas-Bangas pour lui rendre la monnaie de sa pièce, et font le pari que l’Auditor de Jordi saura battre la gorille géante comme il l’a fait avec un pinosaure.

Queen Kon de son côté arrive dans son repaire : une corniche donnant sur un précipice d’où l’on peut voir toute la vallée, curieusement des cadavres traînent de ci de là, à l’état de squelettes englués d’un slime visqueux. Elle s’assoit et s’intéresse de plus près à un Picon évanoui et en loques, jouant un moment avec ses lambeaux de vêtements (cherchant surtout à lui arracher son pantalon du bout des ongles). Il se réveille et hurle (pour changer), puis se calme et cherche à comprendre ce qu’elle lui veut… après lui avoir léché la face, et se l’être tripoté contre les tétons (avec à chaque fois l’action en plan large une poupée dans la main de l’ acteur en costume de Queen Kon, et un gros plan du résultat sur la tronche d’ un Jean-Luc : trempé), elle se l’enfile carrément comme un gode ! Entre chaque plongée en apnée dans les entrailles de la bête, Picon (gluant et essouflé) essaie vainement de se défendre verbalement (du genre « mais Mademoiselle… nous n’avons même pas été présentés… je vous demande de vous arrêter… »). Alors qu’un râle d’orgasme géant retentit dans toute la jungle, on aperçoit Eléthonia qui s’approche discrètement, restant à distance attendant sa chance de récupérer son capitaine quand le monstre en aura détourné son attention.

Lorsque Queen Kon repose Picon entre ses cuisses, pour s’affaler satisfaite et se détendre, elle entend brusquement un bruit qui l’a fait bondir : c’est Eléthonia qui a fait chuter une grosse pierre en grimpant vers sa corniche… elle n’a d’ailleurs que juste le temps de se cacher derrière une autre avant que Queen Kon ne vienne vérifier si un danger accompagne ce qu’elle a entendu.

Pendant ce temps Picon essaie de se rapprocher du bord du ravin en rampant sans bruit, il se rend compte qu’il va être difficile de s’évader par-là, quand il est tout à coup attaquée par un pinotactile (une sorte d’oiseau préhistorique avec une pine à la place du bec), qui surgit des nuages pour piquer sur lui, l’atteignant dans le fondement (normal il rampait) ! Queen Kon entendant son cri de souffrance aiguë revient précipitamment vers lui pour l’aider, elle arrache le pinotactile de sa sodomie aérienne, et entreprend de l’écrabouiller… Eléthonia profite qu’elle soit ainsi occupée pour rejoindre enfin Picon, ils se rapprochent tous 2 discrètement du ravin et cherche des yeux un moyen de s’échapper. Eléthonia a alors l’idée de détacher ses cheveux (coiffés à ce moment en choucroute à la princesse Léïa), elle les dénoue, les dénoue, les dénoue, et obtient finalement l’équivalent d’une corde assez longue pour que Picon entreprenne la descente.

Mais lorsque Queen Kon a fini d’arracher les ailes du pinotactile, et qu’elle se retourne, elle se rend compte de la tentative d’évasion, et furieuse fonce vers Eléthonia. A cet instant de toute façon la chevelure se coupe en frottant contre la roche sous le poids de Picon, qui tombe dans le ravin. Eléthonia n’a donc comme seule issue de se jeter dans le vide…

Heureusement, c’est l’eau d’une rivière qui accueille leur chute, et ils remontent à la surface sain et sauf, puis nagent jusqu’à la rive. Trempés, Picon est si terrorisé qu’Eléthonia doit le prendre dans ses bras et le porter dans leur fuite vers le campement du reste de l’équipe.

 

On retrouve ces derniers entrain d’interroger la shaman ligotée qui refuse obstinément de contrer sa magie. Surpris mais heureux de voir débarquer Eléthonia victorieuse, ils déchantent vite quand ils se rendent compte que Queen Kon les suit au loin ! C’est alors que « Medecine Man » propose au capitaine de tenter de la capturer : selon lui si on est venu ici c’était pour les aphrodisiaques Gangas-Bangas, comme cette négociation a échouée autant ne pas partir les mains vides… le capitaine ne voyant pas où il veut en venir, Guy Solies explique qu’une tentative d’accouplement interspécifique doit être tentée par son frère Raoul sur ce sujet : en effet, il espère beaucoup des organes génitaux géant de Queen Kon (pour la reproduction en masse et le repeuplement de la Terre !), dont il estime l’ADN de gorille proche du nôtre ! Le plan « coup de butoir par Auditor » est donc mis en branle.

Queen Kon déboule alors dans le village Gangas-Bangas et détruit tout sur son passage (disons qu’elle renverse au moins les 2 piliers-verges et écrabouille aussi quelques cabanes de branchages). Les indigènes Gangas-Bangas se défendent comme ils peuvent, les femmes retirent leur sous-tif pour en faire des frondes, les hommes lui jettent leur lances-godes, mais beaucoup périssent dans cet affrontement titanesque. Nos héros débarquent dans la bataille depuis leur camp tout proche. Jordi tente de faire trébucher le monstre à l’aide d’un son, mais rien n’y fait, rien n’y fait… Affolés nos héros décident de rebrousser chemin en contactant le vaisseau pour qu’il viennent les chercher en se posant sur l’aire d’atterrissage sélectionnée. Raoul répond à leur appel et l’Ejaculator rentre dans l’atmosphère, puis traverse les nuages pour descendre vers leur position.

L’Ejaculator rentre dans l’atmosphère, les frottements provoque une érection de l’engin, puis il traverse les nuages pour descendre vers leur position (intégration sur photo trafiquée genre Brésil vue d’un satellite). Queen Kon délaisse les Gangas-Bangas pour poursuivre les héros jusque leur campement, elle va les rattraper avant que le vaisseau ne soit posé, aussi en désespoir de cause Picon supplie Starkon ( ! ) de faire… quelque chose ! « d’accord… mais quoi ? » répond ce dernier, Picon lui souffle qu’il sait bien pourquoi il a été retenu dans l’équipage, il doit se servir de son seul atout dans la vie : son exceptionnelle vergence dans la force… aussi Starkon s’arrête--il dans sa course, et se retourne-t-il vers le monstre tandis que les autres continuent de fuir. Il ouvre sa braguette, baisse son pantalon, et sors son engin de son caleçon (hors-champ bien sûr !)… Queen Kon se stoppe net dans sa course… Elle écarquille des yeux, le souffle coupé… Et s’évanouit dans un énorme fracas ! Revenant sur ces pas, Picon s’extasie devant les arguments frappants de sa jeune recrue qu’il qualifie de « huitième merveille du monde » !

Après une ellipse temporelle, le vaisseau Ejaculator est enfin posé (couilles au sol, gland vers le ciel), et le campement est juste devant. On retrouve tout l’équipage excité d’assister à l’expérience de Guy concernant l’accouplement de Raoul avec le monstre. Cette dernière est donc consciente, mais groggy, lourdement enchaînée, rivée au sol, dans une position rappelant fortement une chaise d’examen gynécologique. Alors que tous s’installent comme au théâtre, Picon et Eléthonia discutent en coulisses… bien qu’elle ai dévoilé à tous ses sentiments en accomplissant son sauvetage, Picon le niais ne s’est rendu compte de rien ayant pris ça pour un sens du devoir exacerbé. Pour lui donc rien n’a changé, elle est toujours Eléthonia de Figidia, alors qu’elle attend un baiser, il lui promet une médaille !

Lorsque Medecine Man arrive sur « scène » l ‘équipage applaudit, puis il leur présente l’expérience d’accouplement interspécifique. Raoul arrive alors, comme un boxeur en peignoir, acclamé par la foule, bien qu’il n’ai pas l’air à l’aise… Guy l’encourage (comme le ferait un réalisateur de porno avec un hardeur), Raoul essaie de se concentrer sur son érection en matant des magazines cochons où apparaissent des fakes (montages infographiques) des actrices célèbres de Star Trek à poil. Comme Raoul a une panne face à l’énormité de la tâche, Guy appelle le capitaine Picon à la rescousse pour qu’il ordonne à son frère de s’exécuter. Mais, subitement, dés qu’elle voit Picon, Queen Kon se met tout à coup à s’énerver, et à tirer sur ses chaînes qui ne tardent pas à céder !

La foule panique aussitôt, s’enfuyant en tout sens en hurlant et en se bousculant. Queen Kon se met à tout dévaster dans le campement (c’est à dire les quelques tentes et tables de camping !), alors que quelques figurants téméraires lui tirent dessus vainement avec leurs phaseurs. Puis elle ré-aperçoit Picon dans la foule qui zigzague en tout sens, et l’attrape dans sa poigne géante. Comme les tireurs deviennent de plus en plus nombreux, elle décide de leur fausser compagnie en commençant de grimper le long du vaisseau, bientôt nul ne peut plus l’atteindre… elle gravit donc l’immense verge dressée de l’Ejaculator, jusqu’au gland-canon du sommet. Là elle dépose Picon sur un rebord et se masse la poitrine fièrement en hurlant sa suprématie sur toute la jungle, en effet depuis cette hauteur vertigineuse il y a une vue sur toute la jungle.

Ensuite elle s’intéresse à Picon de nouveau, et plus précisément à ses attributs qu’elle imagine à la hauteur suite à la vision des atouts de Starkon… elle essaie donc à nouveau de lui arracher son pantalon du bout des ongles. Picon, résigné, comprend ce qu’elle veut voir, et décide de lui faciliter la tâche, il prend son courage à 2 mains (parce que pour le reste 2 doigts suffisent amplement !), et exhibe ses attributs (toujours hors-champ of course) ! Queen Kon se stoppe net dans son mouvement… Elle plisse les yeux, l’air amusée… Et en poussant un fou-rire incontrôlé, elle glisse en arrière, tombe dans le vide, et s’écrase au sol dans un énorme fracas, comme une couille molle !

En bas, la foule redevenue silencieuse se rapproche de l’imposant cadavre de Queen Kon (explosée de la tronche dans une position ridicule)… Ikthar se tourne vers Medecine man :
Ikthar : « alors finalement, elle était sensible aux rayons laser, mais d’une sensibilité à retardement sûrement… »
Guy Solies : « Non Ikthar, abandonnez votre anti-logique vulvaine sur ce coup-là, les rayons lasers n’ont rien à voir là-dedans… c’est la BITE qui a tué la BÊTE ! »

La caméra s’éloigne de l’équipage amassé autour de la dépouille, pour embrasser tout le décor forestier de Skull Planet, dominé par la verge géante de l’Ejaculator.

 

FIN

 

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